lundi 7 juillet 2008

Tu verras ma chérie...

Elle m’avait dit :
« Tu verras, ma chérie, entre 25 et 35 ans, comme les années sont belles et importantes »



Des situations simples sources de bonheur intense







Des impressions de sérénité familiale ; sélection volontaire de relations indispensables







Des affections nouvelles, en devenir, qu’on a hâte de tisser davantage






Des relations de travail qui deviennent de véritables attachements








Des événements majeurs, initiés, annoncés, en organisation






Des liens plus forts que ce qu’on veut le laisser paraître dans la pudeur de l’adolescence






Des personnes qu’on aimerait avoir toute la vie pour connaître







Comme elle avait raison !
Elle oubliait seulement que les années seraient toujours moins belles parce que je ne pourrais pas lui raconter chacun des bonheurs qu'elle avait prédits.

1 commentaire:

Kathryn a dit…

Hello Amélie,

Je me souviens avec émotion de ta grand mère. Gentille, guillerette tellement impliquée dans ta vie d'enfant.

J'espère que tu vas bien.

A bientôt
Fabrice